Sur le chemin qui longeait la mer, la mer en douces lames venait mourir sur le sable murmurant ce chant qui l’appelait au large vers l’à venir. Sans un regard vers la terre qui l’avait nourri, il se donna au flux se laissant porter vers la légèreté de l’être. La liberté au lointain serait sienne. Le soir venu, la mer en son flamboiement disait cette vie naufragée au cœur de l’onde.
©️ Paloma GUERAN